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Un blog pour saisir le travail des élèves de l’atelier théâtre

Malgré la pandémie et les conditions sanitaires compliquées, les élèves de l’atelier théâtre ont tout de même travailler toute cette année scolaire.

C’est du texte de Wajdi Mouawad, Assoiffés, qu’ils se sont emparés.

Ils ont été encadré toute cette année par la metteure en scène Sabine Lemler de la Cie Via (qui travaille avec l’atelier depuis de nombreuses années), et le professeur documentaliste, responsable de l’atelier, M Wimmer-Nejman.

Il n’y aura pas de (re)présentation avec du public cette année mais les élèves et leurs encadrants travaillent à une captation filmée qui sera diffusée au lycée.

En attendant de pouvoir voir le travail finalisé, retrouvez ces fabuleux élèves au travail grâce à ce blog !

Adresse du blog : https://xn--assoiffs-h1a.weebly.com/

Bientôt le Gloria de Vivaldi…

Le vendredi 19 mars, 20 élèves de la section musique se sont réunis sous la baguette de Cédric Doesch du CRR de Strasbourg pour une répétition d’ orchestre du magnifique Gloria de Vivaldi. Cette répétition s’inscrit dans un projet de collaboration né en début d’année entre la section musique et un chœur d’adultes dirigé par Monsieur Doesch. Cette œuvre majeure du musicien vénitien sera donnée en concert de plein air en juin 2021 au lycée, et, dès que les conditions sanitaires le permettront, dans plusieurs lieux de Strasbourg et environs.

Un immense merci aux élèves qui avaient travaillé en amont la partition et ont ,une fois de plus, fait la preuve de leurs qualités artistiques !

Rencontre avec Zad Moultaka, compositeur de l’opéra Hémon

Le Jeudi 18 Mars, les élèves musiciens de 1ère spécialité ont eu l’immense plaisir d’accueillir au lycée le compositeur, plasticien et scénographe Zad Moultaka autour de la création de son œuvre Hémon à l’Opéra National du Rhin, dans le cadre d’Arsmondo dont le pays invité cette année est le Liban.

Cet opéra raconte l’histoire d’Hémon, fiancé d’Antigone et fils d’Eurydice. dans la pièce de Sophocle, il met fin à ses jours et dans l’opéra, il prend la fuite …

Leur échange a porté sur les sources d’inspiration du compositeur pour l’écriture musicale et la scénographie de cette œuvre, mais également sur la place et le rôle de l’artiste dans notre société contemporaine et les influences culturelles et musicales dues à sa double culture, occidentale et orientale dans l’approche de ses créations. Sur les questions également que soulèvent cet opéra à savoir la responsabilité ou la fuite dans la gouvernance politique d’un état.

Un grand merci aux élèves pour leur attention et la qualité de cet échange !

Vous pouvez découvrir cet opéra grâce à l’émission disponible sur le site de l’Opéra national du Rhin https://www.operanationaldurhin.eu/fr/spectacles/saison-2020-2021/opera/haemon

Les spécialités au lycée présentées en vidéo

Retrouvez toutes les spécialités proposées au lycée en Première et en Terminale sous la forme de capsules vidéo.

Pour les visionner, il vous suffit de cliquer sur l’image ci-dessous. Vous serez redirigé vers une infographie plus grande. Vous pouvez alors cliquer sur l’image de la spécialité que vous souhaitez découvrir puis de lire la vidéo !!

Bon visionnage et bonne découverte.

Projet Saint Valentin : les cartes messagères …

Une initiative pour créer du lien

« Avec la covid on ne peut plus montrer autant son amour et son amitié qu’avant, je me suis alors dit que de s’envoyer un petit mot entre ami-e-s ou entre amoureux serait idéal » explique Caroline FAGES, initiatrice et organisatrice du Projet Saint Valentin, proposé à la MDL en 2019, puis voté en 2020. 

« L’idée est que chacun puisse envoyer une ou plusieurs cartes anonymes à des ami-e-s, un peu comme une poste de l’amour », précise Caroline.

Assistée par deux camarades de la MDL, Raïssa NOWSHIN et Louise GEORGES, elles ont imaginé le design des cartes et fabriqué une jolie boite pour les accueillir.


A partir du lundi 8 février, les élèves pouvaient venir les chercher aux pauses et les remettre directement au stand, afin qu’elles soient distribuées en cours la semaine suivante.
 
Dès le lundi 15 février au matin, les 265 cartes étaient déjà toutes remplies. L’équipe a dû tout de suite en recommander 500 de plus.

Quel(s) message(s) ?

Au recto des cartes on pouvait noter le nom, prénom et la classe du destinataire et au verso un petit mot d’amitié ou d’amour. Lorsque les élèves venaient leur remettre les cartes, ils pouvaient agrémenter la carte avec un chocolat pour 50 centimes (sur 770 cartes envoyées, 95 d’entre elles ont été agrémentées d’un chocolat). Le personnel de l’établissement a aussi été invité à participer.

« Afin que les expéditeurs restent anonymes, mais qu’en cas de message indélicat nous soyons capable de les retracer, j’ai pris soin de numéroter toutes les cartes. J’ai préparé des fiches séparées, afin que les expéditeurs puissent y marquer leur nom, prénom, le nombre de cartes prises. De même pour la distribution avec les numéros des cartes, le nombre de chocolats, etc. Cela permet de garder l’anonymat mais d’assurer un bon suivi » explique Caroline FAGES.

Distribution réussie et participation du plus grand nombre.

Un groupe de bénévoles, constitué d’élèves de seconde, première et terminale, s’est occupé de distribuer les cartes la semaine du 15 février.

« Les bénévoles n’étaient pas seulement des élèves membres de la MDL ou du CVL, mais des élèves qui avaient simplement envie de participer à un projet qui leur tenait à cœur. Ce projet leur a permis de s’impliquer dans leur établissement. Ils ont pris sur leurs heures libres pour les distribuer dans les classes ».
Vendredi toutes les cartes avaient rejoint leurs destinataires » ajoute-elle.


Au final, un bel investissement personnel pour les membres de la MdL mais aussi d’autres élèves et personnel du lycée qui a permis à ce projet de voir le jour.

Activités scientifiques au lycée

Petit journal de bord (mars 2021) des activités du Projet Particules

de la Classe Marie Curie 2nde 6.

Avant Noël, nous avons pu détecter des muons avec des cosmodétecteurs. Nous avons pu voir qu’il faut deux détecteurs en coïncidence (ci-dessous) pour être sûr de détecter les particules voulues. D’autre part, le détecteur orientable (ci-dessus) nous montre que ce sont bien des particules cosmiques car elles arrivent en plus grand nombre à la verticale.

Grâce à de la glace carbonique, nous pouvons réaliser une chambre à brouillard (ci-dessous) pour détecter la radioactivité ambiante. Notre chambre à brouillard a très bien fonctionné avec une centaine de traces par minute !

Fabrication d’une chambre à brouillard par Neycene et Anissa

Le Cosmodétecteur… par Alexandre

Cosmodétecteur… Ce nom semble sortir d’un film de science fiction. De quoi s’agit-il ? Hé bien, voilà :

1| Qu’est ce qu’un Muon ?

Les muons sont des particules, comme les quarks ou les électrons.

Les « particules » sont les plus petit composants de la matière.

L’électron partage une caractéristique avec le muon : il est de « charge négative ». C’est à dire qu’il est attiré par les particules chargées « positivement » et repoussé par celles chargées « négativement ».

Mais il y a une différence majeure entre le muon et l’électron : leurs masses.

Celle d’un muon est à peu près 207 fois plus grande que celle d’un électron .

Ce serait à peu près comparer votre poids à celui de 2, 3 éléphants .

Et d’où vient le muon ?

2| Les particules extraterrestres

Nous sommes bombardés en permanence par des particules venues du Soleil et d’ailleurs. Normalement, nous sommes protégés par le « bouclier magnétique » de la Terre. Mais il n’est pas imperméable. Certaines entrent alors en collision avec l’atmosphère.

Cela engendre une cascade de particules secondaires dont certaines parviennent jusqu’au sol. Le muon est né.

Comment le détecter ?

3| Le cosmodétecteur

On peut détecter une particule chargée en 4 étapes :

– Les scintillateurs, qui détectent la trace d’éventuels muons. Il s’agit de deux tubes en plastique. Lorsque ils rencontrent une particule chargée, les atomes du scintillateur sont excités et émettent des photons.

– Le « photomultiplicateur » amplifie ce signal enregistré par le scintillateur.

– Ensuite, le signal analogique* est transformé en signal numérique ( 0 ou 1). Les signaux trop faibles sont alors abandonnés.

– La dernière étape est donc le logiciel de l’ordinateur.

Mais comment savons nous que les particules détectées sont des muons ?

4| Coïncidence

Le muon se déplace à une vitesse proche de la lumière. Le signal enregistré par les deux scintillateurs aura donc un écart de quelques nanosecondes. Ainsi, cela discrimine les bruits de fond.

Et si on détectait une autre particule chargée se déplaçant à la vitesse de la lumière ? On la prendrait pour un muon ?

Ne vous inquiétez pas… Mais pour obtenir une réponse à cette question, veuillez vous adresser à votre prof de physique-chimie. Merci.

* Par exemple, un thermomètre produit un signal analogique : il varie en fonction du temps et de la température.